CARD-CEMAC
C2PADP

Campagne de Proximité N°1 à Douala 4ème

 

CAMPAGNE DE PROXIMITE SUR LES METIERS DE LA BEAUTE ET DU BIEN-ETRE.

 

THEME " TON SAVOIR-FAIRE EST DEJA UN EMPLOI, UNE ENTREPRISE, IL FAIT DE TOI UN PATRON : FAIS LE VIVRE, FAIS-LE GRANDIR ET DEVELOPPE - LE  "

 

ATELIER N°1

 

 

 

LE RAPPORT

 

 

 

 

SOMMAIRE

INTRODUCTION

PREMIERE PARTIE : LES TERMES DE REFERENCE DE L’ATELIER

DEUXIEME PARTIE : LA TENUE DE L’ATELIER PROPREMENT DITE

TROISIEME PARTIE : CONSTITUTION DU FICHIER DES ACTEURS DU SECTEUR BEAUTE ET BIEN ETRE

 

INTRODUCTION

Cet atelier est organisé dans le cadre de la mise en œuvre de la campagne de proximité sur les métiers de la beauté et du bien être dans la ville de Douala sous le thème: " Ton savoir-faire est déjà un métier, une entreprise : il fait de toi un patron. Fais le vivre, fais-le grandir et développe- le  "

Le 11 Mars 2013 marque le lancement de la campagne de proximité qui doit s’étendre dans les cinq arrondissements de la ville de Douala. Elle a débuté dans l’arrondissement de Douala IV(Bonaberi).

Dans le cadre de la mise en œuvre du programme C2PADP et du suivi des résultats attendus de la conférence sur les métiers de la beauté et du bien-être du 05 Novembre 2012 portant sur : « les métiers de la beauté, du bien être et les pme-pmi, entreprises artisanales pour un développement durable »,Le présent rapport restitue les termes de référence de l’atelier, la tenue de l’atelier proprement dite et enfin la constitution du fichier des acteurs du secteur beauté et bien être à Douala au Cameroun.

 

I ère PARTIE : TERMES DE REFERENCE

 

             A- CIBLES

Les spécialistes des métiers de la beauté de la ville de douala, gestionnaire de structures deprestation ou potentielle détentrices de salons / instituts de beauté/bijouteries.

           B- OBJECTIFS DE LA CAMPAGNE

  • Susciter la participation à l’atelier de renforcement des capacités prévu au terme de cette campagne.
  • Augmenter les capacités productives des acteurs.
  • Encourager la formation professionnelle, dynamiser ceux qui ont déjà suivi une formation/un apprentissage.
  • Encourager la gestion du porte feuille clients ainsi que celle des salons et autres.
  • Susciter la sortie de l’informel pour le formel.
  • Motiver la participation à un réseau de développement national ou international.
  • Initier et susciter la mise en place d’un réseau de développement de ce secteur dans la ville, le pays et la sous région.

C- RESULTATS ATTENDUS DE LA CAMPAGNE 

  • Disposer des participants à l’atelier de renforcement des capacités avec nécessité de constituer en entreprise, membre d’une micro finance et d’un réseau de développement Disposer des personnes morales ou physiques sur le fichier  pour contrôler et suivre les nouveaux produits et nouvelles entités.
  • Intérêt manifeste  pour les métiers des  secteurs concernés.
  • Disponibilité des informations devant contribuer à l’amélioration du cadre de développement des secteurs de la beauté et du bien être au  Cameroun ainsi dans la sous région pour les rentre plus compétitives .
  • Les étudiants et les apprentis de ces secteurs doivent décider de mettre tout leur savoir faire en valeur en créant leurs emploi, leur entreprise et devenir des patrons.

 

IIème PARTIE : TENUE DE L’ATELIER PROPREMENT DITE.

 

Mot de bienvenue.

L’atelier a été solennellement ouvert par le mot de bienvenue de Coordonnateur du CARD-C2PAD Monsieur Jean-Marie SITA qui a exprimé sa gratitude à tous les panelistes et les participants présents.

Il a relevé dans ses propos l’enjeu de la vulgarisation des métiers de la beauté et du Bien-être dans le développement et l’épanouissement des acteurs de ce secteur dans la recherche du bien être et la lutte contre la pauvreté, il a encouragé à cet effet les participants à être très attentifs pendants les travaux.

Par ailleurs il a souligné que les acteurs de ces secteur rencontrent grands nombres de difficultés ce qui explique que cet atelier a été subdivisé en Cinq sous thèmes développés tour à tour par :

 

THEME 1 : METIERS DE LA BEAUTE ET DU BIEN ETRE : ACTIVITES  ARTISANALES – EMPLOIS – PME - AVENIR.

 

Présenté par : M. MOTSEBO Conseiller N°1 à la Délégation régionale du Ministère de l’Emploi et de le Formation Professionnelle (MINEFOP).

Il a commencé par saluer l’initiative du CARD-C2PAD. Il a aussi noté que cet atelier allait en droite ligne avec d’autres évènements déjà organisé comme le Congrès sur le bien-être (Cisbe).

En tant que spécialiste de l’orientation, il a souligné que la plupart des jeunes scolarisés n’intègrent pas ces métiers dans leur plan de carrière et comme ayant une place dans la société. Ils rêvent tous de travailler dans ce qu’on appelle vulgairement « Grosse boite ».C’est donc au bout des échecs répétés aux grands concours nationaux que ceux-ci se retournent vers ces métiers et disent souvent « je le fais en attendant ».Au  bout d’un certain temps lorsque rien ne change ils se rendent donc comptent qu’en réalité eux même peuvent créer leur propre entreprises et devenir des patrons.

Aujourd’hui, l’Etat camerounais veut renverser la tendance et faire comprendre aux jeunes que tous ces métiers concourent aux emplois. Ce qui a favorisé la transition de cette tendance est que le secteur public emploi rarement.

Pour palier au chômage, l’administration publique a favorisé le développement indépendant et a structuré sa stratégie en trois groupes à savoir

  1. Renforcer le secteur : en créant des structures telles que et a crée le Fond National de l’Emploi (FNE), le Pajer U, le MINPMEESA, le MINFOP, le PIAASI et bien d’autres.
  2. Former et financer: Des Bourses sont octroyées et aussi des financements pour accompagner les artisans dans leurs différentes activités.
  3. Formaliser les métiers en un corps socio-professionnelle. Il existe des programmes de formation professionnelles  organisées dans des centres de formation agrées et sanctionnés par un diplôme national (Diplôme de qualification professionnel).

Il exhorte donc tous les acteurs et actrices de ces métiers à se mettre en avant car l’Etat Camerounais les soutient.

L’on ne saurait parler de métier stable sans parler de formation et apprentissage ce qui nous conduit au deuxième sujet

 

Thème 2 : FORMATION-APPRENTISSAGE MOYENS DE MAITRISE DU METIER ET DE LA PROFESSION.

Présenté par : Mme OUADJA Josiane Présidente de l’Association pour l’Encadrement de la   Femme et de la Famille (ASSEF), promotrice d’un centre de formation professionnelle.

L’on a  longtemps pensé que la coiffure sert juste à ceux qui veulent voyager ou alors ceux qui ne savent plus quoi faire pour survivre mais notre spécialiste de la coiffure et formatrice du dit secteur s’inscrit en faux contre cette logique car bien au dé là de ces préjugés, elle donne les raison pour lesquelles il est nécessaire de se former :

I-Formation: moyen de connaissance

Tout métier est une science et nécessite d’être appris. Nous ne pouvons pas travailler sur une matière sans la connaître. A se former on revient à étudier la médecine, le cinéma et bien d’autres secteurs  encore.

Ex. : Pour faire de la kinésie thérapie qui fait partir de bien-être il faut étudier le corps humain

Ex. : Pour coiffer une actrice de cinéma il faut maitriser les règles du cinéma.

II-Formation : source d’épanouissement

En effet, lorsque vous maîtrisez votre travail sur le plan artistique et scientifique, vous êtes épanoui dans ce que vous faites à vos clients. Il arrive parfois de créer et lorsque vous réussissez à satisfaire vos clients vous êtes très fière de l’exploit réalisé. Mais en créant il faudrait déjà avoir été formé pour  y  arriver.

Elle invite donc les acteurs du secteur à lier la science à l’artistique

III- Formation : instrument de croissance économique

La formation permet de rompre avec la routine donc, de créer en permanence et d’attirer de plus en plus la clientèle.

Exemple simple : Une coiffeuse qui parle du dernier séminaire sur la beauté et le bien-être à sa cliente et qui à travers cette conversation aide la cliente à s’informer sur l’état de ses cheveux va conserver  sa cliente.

La formation permet de comprendre aisément le rôle d’une corporation, l’avantage à être plus en groupe plutôt que d’évoluer en solitaire.

Ex : Coiffeuse ou esthéticienne peut difficilement prendre des vacances en  confiant sa cliente à son ou sa collègue.

Et du fait de ce manque d’organisation, les coiffeurs(es) ne connaissent pas leurs droits et devoirs et ne savent ni ce qu’il faut faire ni vers qui ce tourner pour améliorer leurs conditions pourtant ceux-ci participent à l’économie du pays .Avec les produits qu’ils utilisent les taxes sur la douane sont payées à 100%.

Au regard du manque d’information et de formation plusieurs d’entre nous fonctionnent dans l’informel car ne connaissent pas la nécessité de s’intégrer et de s’affirmer à partir de leur métier.

Pour éclairer tout ce qui est donc considéré comme zone d’ombre en ce qui concerne la création de sa propre entreprise nous irons au :

 

Thème 3 : CREATION -MIGRATION-EXISTENCE

 

Présenté par : M. Joseph BIPOUPOUTH Délégué Départemental des petites et Moyennes  entreprises de l’économie sociale et de l’artisanat (MINPMEESA/Wouri), (CFCE).

Après avoir félicité le Card pour l’initiative, Monsieur le Délégué a tenu a expliqué l’action du Gouvernement camerounais  vis-à-vis des artisans. Montrer comment la volonté d’exister peut faire exister une société, susciter la sortie de l’informel. Cette action est structurée comme suit :

 

  • Le contexte : la crise économique ayant longtemps sévit au Cameroun, nous avons vécu une expérience qui a conféré une place aux Pme pour le développement du pays. En créant le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale et de l’Artisanat (MINPMEESA) en décembre 2004, le gouvernement camerounais a mis en place un cadre institutionnel permettant d’élever l’artisanat au rang de fonction gouvernementale. La loi n° 2007/004 du 3 juillet 2007 est venue consolider cet acquis en règlementant ce sous-secteur d’activités. Au regard des potentialités qu’il offre, aussi bien sur le plan de l’expression d’un patrimoine culturel et/ou d’un savoir-faire spécifique hérité de père en fils, l’artisanat peut être considérée comme la « première Entreprise du Cameroun » si l’on prend en compte les filières nombreuses, variées et très porteuses.
  • Les Procédures de formalisation : Les Pme sont classées par niveaux : L’artisanat et l’entreprise moderne.

Pour être conforme il faut se faire enregistrer comme artisan dans la commune de votre arrondissement. Le dossier est constitué du plan de localisation et de la photocopie de la carte nationale d’identité ce qui donne droit à une carte d’artisan.

Pour les entreprises, elles se créent dans les Centres de formalités de création d’entreprise. Le dossier est constitué de :

POUR LES NATIONAUX

  • 01 extrait du bulletin N°3 du casier judiciaire ou a défaut une déclaration sur l’honneur  d’une validité de 02 mois.
  • 01 Copie de l’acte de mariage ou  un certificat de célibat.
  • 01 photo 4x4
  • 01Plan de localisation de l’entreprise signé du requérant.
  • 02 photocopies simples de la CNI
  • 01 photocopie simple de l’acte de naissance

POUR LES ETRANGERS

  • 01 photocopie du passeport ou de la carte de séjour.
  • 01 Extrait du casier judiciaire de son pays d’origine ou tiré du fichier central ou tout autre document en tenant lieu.
  • 02 photos 4x4
  • 01 Plan de localisation de l’entreprise signé du requérant.
  • 01 photocopie simple de l’acte de naissance

POUR DES PERSONNES MORALES

  • 02 Copies certifiées des statuts.
  • 02 exemplaires de déclaration de régularité et de conformité ou de la déclaration notariée de souscription de versement.
  • 02 Listes certifiées conformes des gérants, administrateurs ou associés tenus indéfiniment et personnellement responsables ou ayant le pouvoir d’engager la société.
  • 02 extraits de casier judiciaire des personnes visées ci-dessus.
  • Le cas échéant une autorisation préalable d’exercer le commerce.
  • 01 copie du titre de propriété et de la quittance de versement de la taxe.
  • 01 extrait de casier judiciaire des gérants.
  • 01 Contrat de bail.
  • 01 Plan de localisation.

Les avantages

  • Facilitation financière
  • Facilitation commerciale
  • Prétendre à participer aux appels d’offres des marchés publics
  • Facilités de délivrance de passeport pour les sorties du pays.
  • Facilités fiscales et comptables.
  • Pour ne citer que ceux là.

Les stratégies

Au regard d’une difficile émergence du secteur, Le Cameroun, bien qu’étant l’un des plus anciens foyers de l’art africain est demeuré des décennies durant, timide dans la mise sur orbite de ce secteur, confronté à de nombreuses difficultés qui freinent son évolution, sa modernisation et sa promotion. Sont ainsi à revoir, l’organisation et la structuration du secteur, l’accès aux crédits pour acquérir les équipements nécessaires au développement des activités, l’accès à la formation (gestion, renforcement des capacités), la mise en place d’un dispositif de protection sociale et d’une fiscalité adaptée.

Pour aider à relever ces défis, le gouvernement camerounais envisage à terme, la facilitation de création d’entreprises, l’accompagnement des jeunes dans leurs projets et le financement des projets productifs.

De leur côté, les artisans eux-mêmes doivent prendre conscience de leur rôle dans la société, rationaliser les activités pouvant les sortir des sentiers battus de l'informel et adopter des comportements citoyens qui feront d’eux des partenaires dignes et crédibles sur qui la nation pourra compter. Pour rappel, la loi du 03 juillet 2007 régissant l’artisanat au Cameroun coordonne les activités des artisans et fixe le statut d’artisan. Car, précise le délégué départemental du MINPMEESA pour le Wouri, «l'artisanat est l'ensemble des activités de production, d'extraction, de transformation, de réparation de tout genre d'entretien, de prestation de service essentiellement manuel». Toutefois, les artisans continuent de déplorer les menaces venant des mairies à cause de la fiscalité et des taxes sur les droits sanitaires. Comment éviter de tels désagréments et éviter les pièges de la fiscalité ?tel est le l’Object de notre prochaine analyse.

 

THEME 4 : IDENTITE FISCALE : POURQUOI ET QUEL ATOUTS POUR SON DEVELOPPEMENT ET SA CROISSANCE ?

Présenté par : M. MBIAMI fiscaliste.

L’objectif étant de Montrer les atouts de la fiscalité notamment l’identité fiscale, son apport dans la croissance de son entreprise à court – moyen et long terme. Posons nous d’abord la question de savoir : c’est quoi la fiscalité ?

La Fiscalité est l’ensemble des pratiques relatives à la perception des impôts et des autres prélèvements obligatoires. Elle a pour but d’organiser la vie sociale et de financer les services collectifs nécessaires au bien -être des citoyens tels que la sécurité, la justice, la santé.

A cet effet, toute personne exerçant une activité lucrative doit payer le juste impôt. Au niveau des artisans les régimes d’impôts régis par la loi des finances sont :

Les régimes d'imposition : Ils dépendent de la taille de l’activité. L’impôt libératoire compte les catégories suivantes A, B, C, D.

Les régimes de patente : L’impôt de patente perçu au profit des communes, payable par toute personne physique ou morale exerçant une activité commerciale au Cameroun. Selon les dispositions de l'article 162bis du Code Général des Impôts du Cameroun, les nouvelles entreprises sont exonérées de la patente au titre des deux (02) premières années de leur exploitation.

Pourquoi les uns et les autres refusent-ils de payer les impôts ?

Une autre raison qui pousse les artisans à fonctionner dans l’informel c’est le manque d’information. Il invite donc tout ce monde là à se rapprocher des institutions de l’Etat pour connaitre les véritables coûts à payer correspondants aux activités menées.par ailleurs à force de toujours monnayer les agents envoyés sur le terrain l’on se retrouve entrain de payer plus que ce qu’il ne fallait.

Quels avantages à payer ses impôts ?

  • Pour prétendre à n’importe quel aide venant des banques ou micro-finance pour soutenir votre activité vous devez montrer que vous êtes un contribuable réglo.
  • Les marchés ne sont accordés qu’aux personnes morales ou physiques en règles fiscalement.

Il faudrait aussi noter que lorsqu’au cours d’une année vous n’avez pas fait de chiffre d’affaire il faudrait aller déclarer ‘Néant’ auprès des autorités compétentes de peur de subir un redressement lors des contrôles.

En dernier essor puisque nous abordons la question des finances,

Thème 5 : FINANCEMENT

Présenté par : M. Samuel TOUMEWO représentant du Directeur Général des Mutuelles Camerounaises d’épargne et de crédit (MUCADEC).Il était question de démontrer la nécessité de travailler avec un établissement financier.

Notre spécialiste a donc explicité les conditions d’obtention de crédits et d’assistance financière du point te vue des banquiers. Il en ressort que:

Il faut être inscrit dans l’institution en question et pour être inscrit tous les éléments cités en deçà par les premiers panelistes sont nécessaires.

Les Mucadec offrent  l’opportunité aux artisans de gérer l’épargne et d’obtenir des crédits. Le suivi des clients est primordial et même ceux-ci ont la possibilité de bénéficier de formations pour la gestion de leur crédit.

Cette institution accompagne les artisans dans leurs projets en les suivants dans la constitution de ceux–ci afin qu’ils soient bancables. Il faut donc se dire que : En rejoignant les MUCADEC, vous assurez votre développement, pour le présent et l'avenir !

 

IIIème PARTIE : CONSTITUTION DU FICHIER DES ACTEURS DU SECTEUR BEAUTE ET BIEN ETRE

     N° :…………………..

FICHE D’IDENTIFICATION

  1. IDENTITE
  1. NOM…………………………………………………………………………………………………….........
  2. PRENOM…………………………………………………………………………………………………......
  3. SEXE    M            F
  4. NATIONALITE :……………………………………………………………………………………………....
  5. Tel :……………………………..................................................................................................
  6. E-mail :………………………………………………………………………. BP :…………................…
  1. ACTIVITE
  1. Nature :………………………………………………………………………………………….....………
  2. Depuis combien d’années l’exercez-vous ?.................................................................................................................
  3. Nom et adresse de l’atelier………………………………………………………………………………………………………
  1. FORMATION
  1. Avez-vous déjà suivi une formation ? Oui  Non       un apprentissage ? Oui   Non
  2. Dans quel domaine du secteur de la beauté aimeriez-vous renforcer vos capacités ?

Défrisage      Cosmétique      Coloration des cheveux       Tissage          Esthétique          Autre…………………………………………………………………………………………………………..........

  1. GESTION

Gestion du personnel                 Oui           Non

Gérez – vous  les produits          Oui           Non

Gérez-vous un compte ?             Oui           Non

  1. ETAT
  1. Etes –vous enregistré par les services de l’Etat ?   Oui                    Non

Si Non pourquoi ?............................................................................................................................

  1. Le souhaitez-vous ? Oui                Non
  2. Si Non pourquoi ?...................................................................................................................
  1. RESEAUX

Seriez- vous d’accord de travailler en réseau, collectivité ? Oui                          Non

Que souhaitez-vous que l’on fasse pour que votre activité avance, se développe ?……………………......…..

……………………………………………………………………………………………….........…………….………

Pouvez-vous intervenir hors du pays ?              Oui                  Non

Avez-vous déjà obtenu ou géré un crédit ?        Oui                  Non

Souhaitez-vous recevoir un crédit ?                  Oui                  Non

Avez –vous une assurance ?                           Oui                  Non

  1. OBSERVATIONS

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  1. SUGGESTIONS

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CONCLUSION

En définitive, le bien être et la beauté sont aussi constitués de ce que nous mangeons et ce que nous buvons alors une société de distribution des produits d’élimination de substances toxines dans l’organisme nous a présenté ces produits en nous prodiguant quelques conseils de savoir vivre alimentaire « consommer cinq fruits et légumes par jours ».

Le Coordonnateur du programme a clôturé la séance et a randonné les participants au prochain atelier en précisant que le CARD-C2PADP est ouvert à tous ceux qui auraient besoin de renseignements et assistance quelconque. Après donc trois heures de d’échange, place aux réjouissances.

 

Rapport rédigé sur les notes d’Emmi WONDJE,

             Secrétaire de séance,

                Le 18 Mars 2013

 
   

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